PROGRAMMATION
SAISON 2025/2026
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ON NE JOUAIT PAS A LA PETANQUE...
du Samedi 6 septembre 2025 - 19:00 au Dimanche 26 octobre 2025 - 15:00 Théâtre du Petit Saint-MartinEt si Freud avait été le psy d’Hitler ? Le mal absolu aurait-il pu être évité ? Dans ce « stand-up d’art et d’essai, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello », Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des « enfants cachés » survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes. Sur le f il d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish. On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des comedians juifs new-yorkais. Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer la joie d’être vivant.

LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS
A partir du 12/09/2025 Théâtre de la Porte Saint MartinMalmené par le fleuriste qui l’emploie, Seymour cultive en secret une plante exotique. Problème : l’étrange végétal est carnivore… Un spectacle déjanté et familial, dans la pure tradition de cette comédie musicale à succès, drôle et horrifique à la fois.
Le film américain de 1960, signé Roger Corman, est une comédie d’horreur dont le succès inspira à deux collaborateurs des Studios Disney, l’auteur Howard Ashman et le compositeur Alan Menken, la comédie musicale Little Shop of Horrors. Créée en 1982 à Broadway (Off-Broadway), elle a gardé l’affiche pendant cinq ans d’affilée et à son tour inspiré un film musical à Frank Oz, en 1986.
Cette production imaginée par Maxime Pascal, et mise en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq, poursuit la tradition de la comédie musicale dans une version française et à grand renfort de surprises scéniques.

LA SEPARATION
A partir du 24/09/2025 Théâtre Des Bouffes ParisiensAlain Françon met en scène l’unique pièce de théâtre de Claude Simon, Prix Nobel de littérature.
Un huis clos, installé dans deux vastes cabinets de toilette séparés par une mince cloison, met en scène deux couples en crise. Les parents d’un côté, leur fils et sa femme de l’autre. Avec un humour désopilant, l’auteur nous plonge au cœur d’une tragi-comédie de haute tenue. Une sorte de boulevard écrit par un Prix Nobel.
Alain Françon orchestre cette partition implacable, portée notamment par Catherine Hiegel et Léa Drucker, un duo magistral.
60 ans après son premier engagement professionnel dans ce même théâtre, Catherine Hiegel revient aux Bouffes Parisiens pour incarner ce rôle démentiel de Sabine, vieille ordure bourgeoise. Fascinante.

FABRICE LUCHINI LIT VICTOR HUGO
du Lundi 20 octobre 2025 - 19:00 au Mardi 16 décembre 2025 - 19:00 Théâtre Des Bouffes ParisiensTextes, poèmes
Et
Victor Hugo vu par Charles Péguy et Charles Baudelaire
«J’ai fait une première lecture de textes et poèmes de Victor Hugo devant le public en juin 2021, dans les jardins de la Maison de Chateaubriand. Contrairement à la phrase d’André Gide, pourtant fin analyste, « Quel est le plus grand poète français ? Victor Hugo, hélas », il y a pour moi des éblouissements dans les écrits de Victor Hugo qui dépassent l’artisan doué, et des bonheurs d’écriture qui surgissent de sa création très féconde.
Parallèlement au spectacle sur La Fontaine et le confinement que je joue depuis 2022, j’ai eu envie de revenir à cet exercice plus austère, afin de proposer au public une pure lecture de textes, et notamment le sublime Booz endormi, que Marcel Proust définissait comme le plus beau du 19ème siècle, des poèmes sur la mort de sa fille ou des commentaires d’écrivains comme Charles Baudelaire et Charles Péguy sur Victor Hugo. La lecture démarre au moment de son exil à Jersey et Guernesey, et évoque notamment la mort de sa fille Léopoldine.
Je dédie cette lecture à la réalisatrice Sophie Fillières, qui nous a quittés cet été 2023, avec qui j’ai eu l’immense plaisir de préparer un film sur Victor Hugo.»
Fabrice Luchini

ÇA, C'EST L'AMOUR
A partir du 23 janvier 2026 Théâtre Des Bouffes ParisiensJosiane Balasko et Marilou Berry réunies pour la première fois sur scène dans un duo mère-fille. Une pièce écrite sur mesure pour ces deux grandes interprètes.
Le soir de Noël, Frédérique rend visite à sa fille Mathilde, enfermée depuis des années dans une relation marquée par la violence conjugale. Derrière cette initiative impulsive, se dessine le désir inconscient de libérer sa fille.
Mais face à une mère aussi déconcertante qu’attachante, Mathilde, habituée à l’emprise masculine depuis l’adolescence, saura-t-elle entendre cet appel au sursaut ?
“Ça, c’est l’amour” propose une immersion au cœur d’une histoire familiale où la transmission des blessures semble inscrite dans les gènes.
L’humour, la tendresse et l’humanité des personnages permettent de traiter la complexité des liens familiaux sans détourner le regard, mais sans non plus tomber dans le pathos.
ON NE JOUAIT PAS A LA PETANQUE...
Et si Freud avait été le psy d’Hitler ? Le mal absolu aurait-il pu être évité ? Dans ce « stand-up d’art et d’essai, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello », Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des « enfants cachés » survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes. Sur le f il d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish. On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des comedians juifs new-yorkais. Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer la joie d’être vivant.
LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS
Malmené par le fleuriste qui l’emploie, Seymour cultive en secret une plante exotique. Problème : l’étrange végétal est carnivore… Un spectacle déjanté et familial, dans la pure tradition de cette comédie musicale à succès, drôle et horrifique à la fois.
Le film américain de 1960, signé Roger Corman, est une comédie d’horreur dont le succès inspira à deux collaborateurs des Studios Disney, l’auteur Howard Ashman et le compositeur Alan Menken, la comédie musicale Little Shop of Horrors. Créée en 1982 à Broadway (Off-Broadway), elle a gardé l’affiche pendant cinq ans d’affilée et à son tour inspiré un film musical à Frank Oz, en 1986.
Cette production imaginée par Maxime Pascal, et mise en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq, poursuit la tradition de la comédie musicale dans une version française et à grand renfort de surprises scéniques.
LA SEPARATION
Alain Françon met en scène l’unique pièce de théâtre de Claude Simon, Prix Nobel de littérature.
Un huis clos, installé dans deux vastes cabinets de toilette séparés par une mince cloison, met en scène deux couples en crise. Les parents d’un côté, leur fils et sa femme de l’autre. Avec un humour désopilant, l’auteur nous plonge au cœur d’une tragi-comédie de haute tenue. Une sorte de boulevard écrit par un Prix Nobel.
Alain Françon orchestre cette partition implacable, portée notamment par Catherine Hiegel et Léa Drucker, un duo magistral.
60 ans après son premier engagement professionnel dans ce même théâtre, Catherine Hiegel revient aux Bouffes Parisiens pour incarner ce rôle démentiel de Sabine, vieille ordure bourgeoise. Fascinante.
FABRICE LUCHINI LIT VICTOR HUGO
Textes, poèmes
Et
Victor Hugo vu par Charles Péguy et Charles Baudelaire
«J’ai fait une première lecture de textes et poèmes de Victor Hugo devant le public en juin 2021, dans les jardins de la Maison de Chateaubriand. Contrairement à la phrase d’André Gide, pourtant fin analyste, « Quel est le plus grand poète français ? Victor Hugo, hélas », il y a pour moi des éblouissements dans les écrits de Victor Hugo qui dépassent l’artisan doué, et des bonheurs d’écriture qui surgissent de sa création très féconde.
Parallèlement au spectacle sur La Fontaine et le confinement que je joue depuis 2022, j’ai eu envie de revenir à cet exercice plus austère, afin de proposer au public une pure lecture de textes, et notamment le sublime Booz endormi, que Marcel Proust définissait comme le plus beau du 19ème siècle, des poèmes sur la mort de sa fille ou des commentaires d’écrivains comme Charles Baudelaire et Charles Péguy sur Victor Hugo. La lecture démarre au moment de son exil à Jersey et Guernesey, et évoque notamment la mort de sa fille Léopoldine.
Je dédie cette lecture à la réalisatrice Sophie Fillières, qui nous a quittés cet été 2023, avec qui j’ai eu l’immense plaisir de préparer un film sur Victor Hugo.»
Fabrice Luchini
ÇA, C'EST L'AMOUR
Josiane Balasko et Marilou Berry réunies pour la première fois sur scène dans un duo mère-fille. Une pièce écrite sur mesure pour ces deux grandes interprètes.
Le soir de Noël, Frédérique rend visite à sa fille Mathilde, enfermée depuis des années dans une relation marquée par la violence conjugale. Derrière cette initiative impulsive, se dessine le désir inconscient de libérer sa fille.
Mais face à une mère aussi déconcertante qu’attachante, Mathilde, habituée à l’emprise masculine depuis l’adolescence, saura-t-elle entendre cet appel au sursaut ?
“Ça, c’est l’amour” propose une immersion au cœur d’une histoire familiale où la transmission des blessures semble inscrite dans les gènes.
L’humour, la tendresse et l’humanité des personnages permettent de traiter la complexité des liens familiaux sans détourner le regard, mais sans non plus tomber dans le pathos.
Septembre

ON NE JOUAIT PAS A LA PETANQUE...
du Samedi 6 septembre 2025 - 19:00 au Dimanche 26 octobre 2025 - 15:00 Théâtre du Petit Saint-MartinEt si Freud avait été le psy d’Hitler ? Le mal absolu aurait-il pu être évité ? Dans ce « stand-up d’art et d’essai, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello », Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des « enfants cachés » survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes. Sur le f il d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish. On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des comedians juifs new-yorkais. Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer la joie d’être vivant.

LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS
A partir du 12/09/2025 Théâtre de la Porte Saint MartinMalmené par le fleuriste qui l’emploie, Seymour cultive en secret une plante exotique. Problème : l’étrange végétal est carnivore… Un spectacle déjanté et familial, dans la pure tradition de cette comédie musicale à succès, drôle et horrifique à la fois.
Le film américain de 1960, signé Roger Corman, est une comédie d’horreur dont le succès inspira à deux collaborateurs des Studios Disney, l’auteur Howard Ashman et le compositeur Alan Menken, la comédie musicale Little Shop of Horrors. Créée en 1982 à Broadway (Off-Broadway), elle a gardé l’affiche pendant cinq ans d’affilée et à son tour inspiré un film musical à Frank Oz, en 1986.
Cette production imaginée par Maxime Pascal, et mise en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq, poursuit la tradition de la comédie musicale dans une version française et à grand renfort de surprises scéniques.

LA SEPARATION
A partir du 24/09/2025 Théâtre Des Bouffes ParisiensAlain Françon met en scène l’unique pièce de théâtre de Claude Simon, Prix Nobel de littérature.
Un huis clos, installé dans deux vastes cabinets de toilette séparés par une mince cloison, met en scène deux couples en crise. Les parents d’un côté, leur fils et sa femme de l’autre. Avec un humour désopilant, l’auteur nous plonge au cœur d’une tragi-comédie de haute tenue. Une sorte de boulevard écrit par un Prix Nobel.
Alain Françon orchestre cette partition implacable, portée notamment par Catherine Hiegel et Léa Drucker, un duo magistral.
60 ans après son premier engagement professionnel dans ce même théâtre, Catherine Hiegel revient aux Bouffes Parisiens pour incarner ce rôle démentiel de Sabine, vieille ordure bourgeoise. Fascinante.
Octobre

FABRICE LUCHINI LIT VICTOR HUGO
du Lundi 20 octobre 2025 - 19:00 au Mardi 16 décembre 2025 - 19:00 Théâtre Des Bouffes ParisiensTextes, poèmes
Et
Victor Hugo vu par Charles Péguy et Charles Baudelaire
«J’ai fait une première lecture de textes et poèmes de Victor Hugo devant le public en juin 2021, dans les jardins de la Maison de Chateaubriand. Contrairement à la phrase d’André Gide, pourtant fin analyste, « Quel est le plus grand poète français ? Victor Hugo, hélas », il y a pour moi des éblouissements dans les écrits de Victor Hugo qui dépassent l’artisan doué, et des bonheurs d’écriture qui surgissent de sa création très féconde.
Parallèlement au spectacle sur La Fontaine et le confinement que je joue depuis 2022, j’ai eu envie de revenir à cet exercice plus austère, afin de proposer au public une pure lecture de textes, et notamment le sublime Booz endormi, que Marcel Proust définissait comme le plus beau du 19ème siècle, des poèmes sur la mort de sa fille ou des commentaires d’écrivains comme Charles Baudelaire et Charles Péguy sur Victor Hugo. La lecture démarre au moment de son exil à Jersey et Guernesey, et évoque notamment la mort de sa fille Léopoldine.
Je dédie cette lecture à la réalisatrice Sophie Fillières, qui nous a quittés cet été 2023, avec qui j’ai eu l’immense plaisir de préparer un film sur Victor Hugo.»
Fabrice Luchini
Janvier 2026

ÇA, C'EST L'AMOUR
A partir du 23 janvier 2026 Théâtre Des Bouffes ParisiensJosiane Balasko et Marilou Berry réunies pour la première fois sur scène dans un duo mère-fille. Une pièce écrite sur mesure pour ces deux grandes interprètes.
Le soir de Noël, Frédérique rend visite à sa fille Mathilde, enfermée depuis des années dans une relation marquée par la violence conjugale. Derrière cette initiative impulsive, se dessine le désir inconscient de libérer sa fille.
Mais face à une mère aussi déconcertante qu’attachante, Mathilde, habituée à l’emprise masculine depuis l’adolescence, saura-t-elle entendre cet appel au sursaut ?
“Ça, c’est l’amour” propose une immersion au cœur d’une histoire familiale où la transmission des blessures semble inscrite dans les gènes.
L’humour, la tendresse et l’humanité des personnages permettent de traiter la complexité des liens familiaux sans détourner le regard, mais sans non plus tomber dans le pathos.
Septembre
ON NE JOUAIT PAS A LA PETANQUE...
Et si Freud avait été le psy d’Hitler ? Le mal absolu aurait-il pu être évité ? Dans ce « stand-up d’art et d’essai, conférence et confidence, mi-idiot, mi-intello », Éric Feldman explore avec humour et gravité les traumatismes des « enfants cachés » survivants de la Shoah : ses propres parents, oncles et tantes. Sur le f il d’un mystère qu’on se prend à vouloir résoudre, le texte nous plonge dans un tourbillon de pensées, d’émotions, de rires et de souvenirs aux accents yiddish. On y croise notamment tonton Lucien et tata Sarah, le grand écrivain Isaac Bashevis Singer, Milosh le chat d’Éric, et on pense aux grandes figures des comedians juifs new-yorkais. Une autofiction pour dépasser son histoire personnelle, toucher le cœur des gens et célébrer la joie d’être vivant.
LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS
Malmené par le fleuriste qui l’emploie, Seymour cultive en secret une plante exotique. Problème : l’étrange végétal est carnivore… Un spectacle déjanté et familial, dans la pure tradition de cette comédie musicale à succès, drôle et horrifique à la fois.
Le film américain de 1960, signé Roger Corman, est une comédie d’horreur dont le succès inspira à deux collaborateurs des Studios Disney, l’auteur Howard Ashman et le compositeur Alan Menken, la comédie musicale Little Shop of Horrors. Créée en 1982 à Broadway (Off-Broadway), elle a gardé l’affiche pendant cinq ans d’affilée et à son tour inspiré un film musical à Frank Oz, en 1986.
Cette production imaginée par Maxime Pascal, et mise en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq, poursuit la tradition de la comédie musicale dans une version française et à grand renfort de surprises scéniques.
LA SEPARATION
Alain Françon met en scène l’unique pièce de théâtre de Claude Simon, Prix Nobel de littérature.
Un huis clos, installé dans deux vastes cabinets de toilette séparés par une mince cloison, met en scène deux couples en crise. Les parents d’un côté, leur fils et sa femme de l’autre. Avec un humour désopilant, l’auteur nous plonge au cœur d’une tragi-comédie de haute tenue. Une sorte de boulevard écrit par un Prix Nobel.
Alain Françon orchestre cette partition implacable, portée notamment par Catherine Hiegel et Léa Drucker, un duo magistral.
60 ans après son premier engagement professionnel dans ce même théâtre, Catherine Hiegel revient aux Bouffes Parisiens pour incarner ce rôle démentiel de Sabine, vieille ordure bourgeoise. Fascinante.
Octobre
FABRICE LUCHINI LIT VICTOR HUGO
Textes, poèmes
Et
Victor Hugo vu par Charles Péguy et Charles Baudelaire
«J’ai fait une première lecture de textes et poèmes de Victor Hugo devant le public en juin 2021, dans les jardins de la Maison de Chateaubriand. Contrairement à la phrase d’André Gide, pourtant fin analyste, « Quel est le plus grand poète français ? Victor Hugo, hélas », il y a pour moi des éblouissements dans les écrits de Victor Hugo qui dépassent l’artisan doué, et des bonheurs d’écriture qui surgissent de sa création très féconde.
Parallèlement au spectacle sur La Fontaine et le confinement que je joue depuis 2022, j’ai eu envie de revenir à cet exercice plus austère, afin de proposer au public une pure lecture de textes, et notamment le sublime Booz endormi, que Marcel Proust définissait comme le plus beau du 19ème siècle, des poèmes sur la mort de sa fille ou des commentaires d’écrivains comme Charles Baudelaire et Charles Péguy sur Victor Hugo. La lecture démarre au moment de son exil à Jersey et Guernesey, et évoque notamment la mort de sa fille Léopoldine.
Je dédie cette lecture à la réalisatrice Sophie Fillières, qui nous a quittés cet été 2023, avec qui j’ai eu l’immense plaisir de préparer un film sur Victor Hugo.»
Fabrice Luchini
Janvier 2026
ÇA, C'EST L'AMOUR
Josiane Balasko et Marilou Berry réunies pour la première fois sur scène dans un duo mère-fille. Une pièce écrite sur mesure pour ces deux grandes interprètes.
Le soir de Noël, Frédérique rend visite à sa fille Mathilde, enfermée depuis des années dans une relation marquée par la violence conjugale. Derrière cette initiative impulsive, se dessine le désir inconscient de libérer sa fille.
Mais face à une mère aussi déconcertante qu’attachante, Mathilde, habituée à l’emprise masculine depuis l’adolescence, saura-t-elle entendre cet appel au sursaut ?
“Ça, c’est l’amour” propose une immersion au cœur d’une histoire familiale où la transmission des blessures semble inscrite dans les gènes.
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CARTE D'ADHESION
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La carte d'adhésion coûte 30 euros.
La carte est valable 18 mois à partir de la date d’achat et elle est valable pour 2 places par spectacle.

BILLET SOLIDAIRE
S’inspirant de la tradition des cafés suspendus, ce dispositif permet d’offrir des places de spectacle à des personnes en situation de précarité*.
Vous pouvez acheter un billet non-daté au tarif unique de 15€.
Grâce à votre générosité, ces places anonymes seront mises à disposition gracieusement à des bénéficiaires.
Par ce geste solidaire, vous contribuez à rendre la culture accessible au plus grand nombre.
* Bénéficiaires des minima sociaux, CSS, ASPA
Quelle est la démarche à suivre pour acheter ces places solidaires ?
Vous pouvez réserver sur notre site, par téléphone au 01 42 08 00 32 ou au guichet au 18 boulevard Saint-Martin, Paris 10e
Du lundi au samedi de 13h à 19h, dimanche de 13h à 16h.
Comment bénéficier des places solidaires ?
Si vous êtes bénéficiaires du RSA (Revenu de Solidarité Active), CSS (Complémentaire Santé Solidaire) ou encore l'ASPA (Allocation de solidarité aux Personnes Âgées), vous pouvez faire la demande par téléphone au 01 42 08 00 32 ou au guichet.
Sur place, votre billet sera à retirer sur place sur présentation de votre justificatif.
CARTE D'ADHESION
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Juillet 2026

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Non daté

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La carte est valable 18 mois à partir de la date d’achat et elle est valable pour 2 places par spectacle.
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S’inspirant de la tradition des cafés suspendus, ce dispositif permet d’offrir des places de spectacle à des personnes en situation de précarité*.
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Grâce à votre générosité, ces places anonymes seront mises à disposition gracieusement à des bénéficiaires.
Par ce geste solidaire, vous contribuez à rendre la culture accessible au plus grand nombre.
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